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Les sites historiques- Olomouc, Prague et Austerlitz  

    Olomouc – « la perle sur le coussin vert » (40 min de chalet)

Concernant la République tchèque, les touristes étrangers connaissent avant tout son joyau, Prague. Pourtant, la République tchèque, ce sont aussi deux régions, la Bohême et la Moravie ( et ses habitants si chaleureux).Ces deux regions aux multiples richesses culturelles sont sensiblement différentes l’une de l’autre.

On vous invite donc a visiter Olomouc, l´une des villes etudiantes et historiquement importantes de la Moravie centrale. Le centre d´Olomouc est, apres Prague, la deuxième réserve historique en République tchèque. On peut se rendre au centre ville d´Olomouc seulement a 40 minutes en voiture de notre chalet. Avec ses 100.000 habitants, elle est la cinquieme ville en Republique Tcheque. S´étendant, au coeur de la Moravie, le long de la riviére du meme nom.  Cette ville universitaire a la tradition culturelle ancienne, siege d´organes ecclésiastiques supremes est aussi un important carrefour commercial et une porte du massif de Jeseníky.

Le renouveau dynamique du noyau historique réalisé ces dernières années ne fait qu’accentuer le génie des lieux, avec les frontons des palais, les complexes de sculptures baroques et les ruelles romantiques. Une des particularités architecturales de cette ville est la majistueuse colonne de la Saint-Trinité d´Olomouc qui vient  d’être inscrite a la liste du patrimoine culturel de l´UNESCO.

La colonne de la Saint-Trinité, est a ce jour, le 10e monument tchèque à avoir cet honneur. Il convient de dire qu´elle fait partie des 60 monuments répertoriés dans 38 pays, choisis par l´UNESCO. La colonne de 35 mètres est sur la place Haute d’Olomouc, elle date de 1716. Elle fait partie du complexe de fontaines baroques unique en son genre, oeuvre de Vaclav Render et de ses successeurs. La décoration sculpturale, se trouve sur trois étages, chacun avec six statues de saints. Au premier et au deuxième étage, il y a des statues d´apôtres, tandis que la partie inférieure forme une petite chapelle. Au sommet de la colonne, le groupe monumental de la Sainte-Trinité, est symbolisé par le soleil. La consécration de la colonne a été un grand événement auquel ont participé, le 9 septembre 1754, l’impératrice Marie-Thérèse et son époux, François de Lorraine.

En l´an 1306 a Olomouc fut assassiné le dernier des Prémyslides Venceslas III pas tres loin de la cathedrale St. Venceslas, fondée en 1106. Pendant la promenade sur le pavé d´epoque (reconstitué) au centre ville il ne faut surtout pas manqué l´Eglise gothique Morice avec une possibilité  de monter sur la tour pour voir toute la region avec des petites colines de massif Jeseníky.

Sous le regne de l´imperatrice Marie-Thérèse, Olomouc est devenu une ville de prêtres et de soldats. La ville s’est transformée en forteresse. On peut admirer le reste des fortifications en se promenant dans le parc « Bezrucovy sady » ou d´un coté vous avez les remparts de l´ancienne ville (atteignant la hauteur de 20 metres) et  en face le canal naturel de la riviére Morava.  Les visiteurs d’Olomouc ne peuvent pas manquer une grande attraction - l’horloge astronomique de l’hôtel de ville datant du XVIeme siècle mais dont l’aspect a plusieurs fois changé. A l´interieur de l´hotel de ville, on peut aussi bien consacrer du temps a la galerie d´art comme on peut manger a la pizzeria avec terrasse qui se trouve a proximite, oú de nombreux étudiants viennent prendre un raifraichisement. En parlant d’Olomouc, on ne peut pas omettre une spécialité gastronomique qui a rendu la ville célèbre. C’est le fameux petit fromage d’Olomouc - « Olomoucke tvaruzky », l’unique fromage original fabriqué dans notre pays. Pourquoi  ne pas le goutter directement dans le restaurant traditionel « Moravská restaurace » qui est reconnu pour ses plats  de qualité consacrés aux traditions du pays avec le decor, la musique et les serveuses dans leurs costumes a croquer.

Pour bien digerér le repas du midi on vous conseillera une promenade dans le parc « Smetanovy sady », chaque année a l´automme et au printemps, il y a des festivals internatinaux des fleurs, ou bien vous pouvez monter sur la coline  « Svatý Kopecek »  et admirer toute la beauté de L´Eglise de la Presentation de la Vierge Marie qui a été visitée par le Pape Jean Paul II, en 1995. A deux pas de la on peut se plonger parmi les animaux et faire une promenade dans le parc zoologique local.

Enfin, on ira sur les traces du général et de l´homme politique français, La Fayette qui s’est inscrit dans l’histoire de la ville morave d’Olomouc en tant que prisonnier. Comment se fait-il que ce général français se soit retrouvé à Olomouc?

Venez le découvrir chez nous !!!

 

 

Prague  - «  la ville aux cents clochers » (2 heures et demi de chalet)

 

Dans la capitale des rois de Bohême, enroulée autour de son fleuve, la Vltava, soixante-dix palais, quatre-vingts églises, trente-cinq couvents et plus de mille cinq cents édifices et monuments, historiques vous attendent. Onze ponts relient les deux rives de la Vltava, immortalisée par son compositeur Bedrich Smetana.

 

« Cette vieille sorcière de Prague n'en finit jamais de vous envoûter de ses charmes» (Angelo Maria Ripolino)

Vous voilà , assis à la terrasse d'un café, sur la Place de la Vieille Ville. Sous les arcades, c'est encore le calme du petit matin, mais les premiers touristes ont déjà les regards fixés sur la tour carrée de l’hôtel de ville. L'horloge astronomique promet ses huit coups...

Vous fermez les yeux, vous laissez vagabonder votre imagination. Dans ce somptueux décor fait de palais Renaissance, de demeures aux façades baroques, de maisons d'origines romane et gothique, sur cette place aux mille couleurs, se sont déroulées les grandes heures de l'histoire de Prague. C'est ici que les vingt-sept responsables - seigneurs et bourgeois protestants - qui avaient osé se révolter contre les Habsbourg ont été décapités le 21 juin 1621. C'est ici aussi que le 21 février 1948, Klement Gottwald y avait annoncé la victoire des travailleurs lors du fameux "coup de Prague" et c'est ici encore que Vaclav Havel a proclamé le retour à la démocratie en juin 1990.

 

L’horloge fait son numéro

       Huit heures sonnent et l'horloge fait son numéro. Pendant que les douze apôtres défilent devant vos yeux émerveillés, elle dénonce les péchés de l'avarice, de la vanité humaine, les peurs du XVIè siècle alors que la mort tire sa cloche pour indiquer que l'heure est venue et que le coq chante ! Mais sachez que cette horloge astrologique est d'abord un chef d’œuvre de mécanique du début du XVe siècle et la légende dit que Mikulas de Kadan eut les yeux brûlés par les autorités, pour l'empêcher d'aller réutiliser ses talents ailleurs.

Il est temps d'aller voir la Tour Poudrière, vestige des remparts de la ville médiévale, par l'élégante rue Celetna, bordée d'anciens palais et de revenir vers la Place de la Vieille Ville par les rues Jakubska (ne manquez pas l'église Saint-Jacques avec sa superbe pietà en bois du XVe) et Stupartska. L'histoire est partout inscrite dans les pierres des maisons, dominées par les flèches gothiques de Notre- Dame-du –Tyn.

Entre façades sculptées et marionnettes en papier mâché - "Don Giovanni" en tête - qui s'agitent au gré du vent, la rue Karlova vous mène directement au pont Charles, flanqué de ses tours. Il faut se frayer un chemin parmi les peintres, les musiciens et les inévitables marchands de souvenirs qui encombrent cette "allée baroque" sur la Vltava, entre la Vieille Ville et le Petit Coté. Plusieurs dizaines de statues, essentiellement des saints, vous font la haie. Si le pont remonte au XIVe siècle (à Charles IV , le grand bâtisseur de Prague), les statues ont été installées sur les parapets trois siècles plus tard. Prenez le temps de longer ces cinq cents mètres qui mèneront à l'autre rive. Quel bonheur ! Le panorama est imprenable : L’île Kampa, le château...

Vous vous retrouvez maintenant dans un vieux quartier nommé Le Petit-Coté (Mata Strana). Nulle part ailleurs, il ne vous sera permis d'admirer un tel ensemble d'unité architecturale avec ruelles, escaliers, passages multiples (bordés de jardins abandonnés et secrets) palais, terrasses et demeures des rues Mostecka, Tomasska, Nerudova. La pierre baroque, si facile à travailler, s'est implantée ici pour créer une structure unique en Europe.

 

Le châteaux baroque

Bien sur, nous montons au château. Délaissé et réhabilité, reconstruit au goût baroque, Renaissance, le château n'a jamais laissé indifférent. Cette "ville dans la ville" protège dans son enceinte un grand nombre de monuments : la cathédrale Saint-Guy, la basilique Saint-Georges, les grands jardins et la Ruelle d'Or avec ses seize maisons de poupée Renaissance. La légende veut qu'elles aient été habitées par des alchimistes, qui, un jour, se mirent en grève et qui furent expédiés, par Rodolphe II, au fond d'une fosse ou ils moururent de faim. En réalité, la Ruelle d'Or accueillait autrefois des orfèvres et des archers royaux. Plus tard, quand les écrivains et les artistes s'installèrent ici, Kafka travailla à plusieurs reprises au numéro 22, chez sa sœur...

Il ne vous reste ensuite qu'à vous perdre du coté de Hradcanske namesti et de la place Loretanske, dans le plus romantique des quartiers de Prague !

 

La cité juive

Après le Moyen-Age, où les communautés juives (celles d'Occident et d'Orient) étaient installées dans la Vieille Ville, les deux colonies se sont regroupées et installées dans le quartier de Josefov, au nord de la Vielle Ville. Un ghetto où les Juifs de Prague ont subi au fil des siècles bien des oppressions. Le poids des difficiles relations entretenues avec les Chrétiens...

Aujourd'hui, ce quartier ne ressemblé plus à l'original. Les petites ruelles ont laissé la place à la rue Parizska - par laquelle on accède à la ville juive - et à quelques autres artères bordées d'immeubles aux façades Art nouveau, de nombreux cafés et de boutiques de mode.

Des recoins, des galeries et des passages préservées, il en reste quand même autour du couvent d'Agnès- la- Bienheureuse, de l'église gothique Saint-Castullus, de la synagogue Maiset.

À deux pas de l'hôtel de ville juif, dont l'un des cadrans d'horloge est toujours numéroté en hébreu, - le vieux cimetière - le plus ancien d'Europe - n'a pas varié depuis son origine. 12.000 stèles serrées dans le plus grand des chaos, mais des sépultures superposées sur dix ou douze couches : 100.000 personnes ont été enterrées de 1478 à 1787. Le tombeau te plus célèbre est celui de Rabbi Lôw, mathématicien, astronome, conseiller privilégié de Rodolphe II. La coutume veut qu'on y dépose des petits cailloux, à l'image des Juifs du désert qui déposaient des cailloux à la place des fleurs.

 

Les cafés de Prague

A Prague comme à Vienne, les cafés ces temples de l'intelligence - sont des lieux historiques. Comme "Les Trois Autruches", près du pont Chartes, ouvert par Théodat Damascenus, un levantin à qui l'on doit l'introduction du café « le breuvage, servi "à la turque" » à Prague au début du XVIIIè siècle. Aujourd'hui, on y déguste aussi une belle cuisine tchèque..

Prétexte à se réunir, cette mode des cafés s'est vite répandue dans la cité. Nombreuses sont les enseignes qui firent (et font encore pour certaines) le bonheur des Pragois et des touristes. Citons le "Café Savoy" avec ses peintures murales ; "Le Tigre d'or" et "Les deux chats", deux tavernes de la Vieille Ville, "Jalta", très branché, sur la place Venceslas de la Ville Nouvelle.

Ici ou la bière est reine (Pilsner Urquell et Budweiser Budvar en tête), il faut aussi fréquenter la plus vieille brasserie de la cité "U Fleku", fondée en 1499, qui accueille les clients sous des voûtes gothiques et des clochetons Renaissance, au milieu des cuves en cuivre.

Pour les tables, retenez Nebozizek  sur la colline de Petrin, avec sa terrasse panoramique qui offre une vue somptueuse sur la ville. "U Maliru" avec son grand décor romantique dans la Vieille Ville ou "Le Café de l'Hotel de l'Europe", très Art nouveau dans la Ville Nouvelle, sont aussi des lieux très prisés.

 

Quelques coups de cœur :

- Le palais et le jardin Wallenstein (Petit-Côté, sous le château). C'est là, le superbe palais baroque d'un général et aventurier au service des Habsbourg... et il est prolongé par une suite de jardins à l'italienne, ornés d'admirables statues de bronze.

- Le couvent de Strahov (aux confins ouest de Hradcany). Fondé au XIIe siècle, ce couvent a été reconstruit en style gothique après un incendie et remanié en style baroque au XVIIe. A découvrir,  l'église Notre Dame, à la triple nef d'une rare harmonie et à la décoration baroque "aérienne"... et surtout la bibtiothèque, vieille de huit cents ans, avec une salle théologique étonnante, dans un style baroque éxubérant !

- Le palais Sternberg (en face du château). Cette grande demeure abrite depuis 1949 la Galerie nationale. Ses principaux "trésors" : "Adam et Eve" par Lucas Cranach, "Le savant dans son cabinet" par Rembrandt, "Christ" par te Greco, "La fête du rosaire" par Dürer.

-Le Théâtre national (dans la Vitte nouvelle). Construit à partir de 1868, il fut détruit par un incendie juste avant son inauguration en août 1881, mais les Pragois parvinrent à réunir, en quelques semaines,  l'argent pour sa reconstruction... et les plus grands artistes tchèques participèrent à son édification et à sa décoration. C'est un monumental chef d’œuvre de style néo-Renaissance.

- Le palais de Troja (au nord de Prague). Sur les hauteurs qui dominent la Vltava, cette résidence d'été des Sternberg (noble famille au service des Habsbourg) est inspirée des villas Renaissance italiennes. Signée d'un architecte français Jean-Baptiste Mathey, elle s’ouvre sur un magnifique jardin à la française, avec des escaliers ornés d'un bel ensemble de sculptures. À l'intérieur, les fresques de la salle d'apparat sont remarquables.

- L'île Kampa. Isolé du Petit-Côté par un bras de ta Vltava, appelé Certovka, cette petite île est fort romantique avec son moulin restauré, avec sa petite place "Na Kampé" bordée de demeures élégantes et d'autres toutes simples, avec son parc et ses petits ponts.

- La colline de Vysehrad (au sud de Prague). C'est là que se dressait la forteresse des premiers maîtres de Prague. La princesse Libuse et son époux Premysl ont droit à leur statue dans le parc, qui offre des vues superbes sur Prague et la Vltava. La rotonde Saint-Martin est la seule construction romane (restaurée bien sûr) du Moyen-Age encore debout. L'église néo-gothique de St-Pierre-St-Paul est flanquée d'un délicieux petit cimétière qui renferme les tombes de personnages illustrés: les compositeurs Bedrich Smetana et Anton Dvorak, l'écrivain Karel Capek, le poète Jan Neruda, le sculpteur Josef Myslbeck... et le peintre, décorateur, illustrateur Alfons Mucha, l'un des grands maîtres de l’Art nouveau !

 

Austerlitz – Slavkov (la bataille de trois empereurs; 1heure et demi de chalet)

 

        L´été 1805, Napoléon concentra son armée cotière dans le camp près de Boulogne dans le but d´accoster l´Angleterre et d´abattre définitivement son ennemi séculaire. Mais les Anglais avec les activités diplomatiques anglaises -et principalement son argent- firent en sorte que Russes et Autrichiens signèrent la troisième coalition contre la France. Ainsi se rencontrèrent le jeune et ambitieux tsar Alexandre et l´empereur autrichien Franz, qui -malgré des difficultés économiques- mena son empire dans une nouvelle guerre. Napoléon réagit vite et son armée, déjà qualifiée de « Grande » ouvrit la marche vers l´est. Les Français trompèrent leurs ennemis et à Ulm renversèrent le noyau de l´armée autrichienne qui attendait passivement sous le commandement du général Macek. Ce fervent militariste attendait l’arméee russe dirigée par le général Koutouzov qui, de fait, entendait se rapprocher des deux armées via la Galicie, la Silésie et la Moravie. Le changement de situation après la boucherie de Ulm se traduisit par un avancement tel de l´armée russe qu’à Braunau, Koutouzov orienta son convoi vers Schongraben, Znojmo, Pohorelice et Vyškov et s´écarta du camp de Olšany près d´Olomouc. Sous la direction du prince Murat, les Français occupèrent Vienne, poursuivirent les Russes et occupèrent le terrain entre Brno et Vyškov. L’affrontement décisif ne tarderait plus. Par des manoeuvres progressives, les lignes des deux armées se disposèrent entre Brno et Austerlitz (Slavkov) : les lignes alliées d’une part de Pozorice à Telnice, les Français d’autre part de Tvarožna à Sokolnice. Dans les champs de Moravie, au matin du 2 décembre 1805 se tenaient 75 000 Français, et devant eux, 70 000 Russes et 15 000 soldats de l´armée autrichienne. Le déroulement de la bataille, gagnée par Napoléon, fut décrit par des dizaines d´historiens. Maintes légendes naquirent de la bataille la plus sanglante de l’époque, comme celles du fameux soleil d´Austerlitz et des soldats noyés dans les étangs de Žatcany et de Menín. Les 20 000 soldats tombés au champ d´honneur, de terribles souffrances ainsi que les privations des civils furent autant de raisons substantielles pour ériger -un siècle plus tard- le Monument de la Paix et et organiser des commémorations.

         Ce lieux de la bataille decisive se trouve a 110 km (90 min.) de notre chalet.

 

 


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